Bien sûr il n’y a pas que la “culture judo”.
Mais ne devons-nous pas reconnaître que c’est bien ce qui demeure encore très vivant au fond de nous, quand le physique se relâche et que la technique ne peut plus compter que sur un vecteur corporel diminué ou déficient ?
Comment ne pas aussi mettre en exergue que ce ne sont pas uniquement les “dan” qui font le judoka et lui confèrent l’expertise de la “culture judo » ? mais l’être humain, avec ses convictions humanistes et son profond attachement à l’enseignement de nos valeurs, principal garant de la transmission de notre culture.
“Le passé au présent”
Le passé a toujours de l’avenir si on le respecte.
La culture c’est ce qui reste quand on a tout oublié.